Les nanoparticules des moteurs à combustion interne constituent un risque pour la santé. Grâce aux nouvelles technologies pour les moteurs et à l’utilisation de filtres à particules, les émissions de particules sont certes réduites de manière mesurable quant à leur masse, mais suite aux pressions d’injection plus élevées, les particules émises deviennent aussi nettement plus petites. En raison de leur haute capacité de diffusion, ces nanoparticules se déposent dans les alvéoles pulmonaires pour pénétrer ensuite plus profondément dans l’organisme humain, augmentant le risque d’attraper un cancer ou d’avoir une crise cardiaque.